Doku Shinjô | Je crois en vous, puisque je place ma haine en chacun de vous. [ EN.COURS ]

Premier.
On commence par le commencement

« Oh, mes sincères salutations. Je viens ici en inconnu, veuillez excuser mon ignorance. Je me nomme Shinjô, Doku Shinjô. Que c'est ironique, de me nommer poison ! Vous ne trouvez pas ? Excusez moi, je m'égage, je m'égare ... je m'emporte assez vite. Je pourrais dire que j'ai un esprit libre ... un esprit qui aime voyager. Un esprit qui aime découvrir, oui, oui, un esprit totalement libre, qui sait se briser ses chaînes et se faufiler entre les barreaux. Je dirais que mon esprit suinte de toute part ... il n'aime pas rester en place. Il migre, il cherche de nouveaux horizons, palpe le temps à la recherche d'une prise solide, pour s'évader encore et toujours ... Pause. Vous ne trouvez pas cela amusant, de voir ses personnes persuader de la non - existence de l'âme, l'esprit ? Ne croyant qu'à la piètre intelligence superficiel de l'être humain ? Je trouve cela fort cocasse. Et parfois, un brin triste ... Faible personnalité ... les pauvre, ce n'est pas donner à tout le monde de vivre, et non de survivre ... ricanement sarcastique. Me voilà donc qui jacasse comme une grand - mère ! Mes excuses les plus sincères. Où nous en étions ? Reposez votre question, je vous prie ... Ah oui. Si je devais résumer mes -nombreuses ?!- compétences, eh bien, je vous avouerais que je ne suis pas un champion dans nombre de domaine. Bien au contraire ... Je dirais même que je suis un piètre personnage. Oh, je sais ! Je parais si égocentrique, parfois. C'est l'image qu'on donne pour éloigner les gens, voyez vous ? Comme quand on signale que le chien est dangereux, qu'il mord ... oh non, je ne suis pas méchant au sens propre ! Disons, que, comme je crois dur comme fer en mon âme, en mon esprit, eh bien, je pourrais dire, sans tomber dans l'égocentrisme, que je pourrais être une personne mauvaise. Cependant, voyez - vous, l'effort que je décuple pour ne pas tomber dans le plaisir malsain qu'est de torturer ... même, si, avouons, je pourrais - ou suis - je ?- être misanthrope sur les bords, puisque je ressens un certain mépris à l'égard de cette stupide race humaine ; oui, regardez là ce détruire ! Il porte le buste en avant, comme pour murmure un secret. Eh bien, ceci, monsieur, m'inspire. Vraiment ! Non, non, je ne suis pas là pour écrire des textes, composer sur la beauté du monde, puisqu'elle est si rare, et qu'elle risque de disparaître. J'aime ce qui est éphémère, car il est toujours drôle de le voir mourir. Mais voyez - vous, comment dire ... La beauté -cette fichue beauté !- a été contée nombre de fois. Eh que je trouve ces textes faux ! Dénudé de toute sensibilité, brute. Leur mélodie est écoeurante. Ils se permettent de dire qu'il voit la beauté en chacun de nous ! Mais qui sait, peut être que je suis laid au fond de moi, répugnant. Et qui sait, vous aussi, vous l'êtes ... Il se redresse, appuie ses doigts, et se met à fixer ses gants. Savez vous, que je ne suis pas un amateur du plaisir de la chair ? Ainsi, je ne peux pas trouver de Muse, n'êtes vous pas d'accord, mon ami ? Je déteste le contact humain. Oui, simplement et purement. Ainsi, j'évite toutes rencontres. Une poignée de main me donne des haut le cœur ... et vous savez pourquoi, mon cher monsieur, pourquoi je n'aime pas ça ? Car ce plaisir malsain, est pêché, donc attirant. Mais, ne serai - ce pas un pêché encore plus ... magnifique que de se refuser, de décevoir cette personne qui vous réclame ? Si, je vous l'assure. »

Second.
Je ferai bien une autobiographie, je suis si géniale!

« Doku ... combien de fois t'ai - je donc dis de ne pas t'éloigner ? »

Oui, je pouvais être fier de ce regard ; celui d'un faon effaré. D'un gosse en détresse, quémandant amour, pardon, l'oubli de sa faute ... Oui, vraiment fier, car je m'en sortais toujours. Les merveilles de l'enfance, je suppose. Ma mère était le genre de personnage imposant, aux épaules carrées, le visage marqué par le temps, bref, une personne ayant travaillé toute sa vie aux champs - ce qui n'était pas faux. Elle était dure, mais souvent juste. Elle ne nous témoignait aucune affection, ni à moi, ni à ma sœur, ni à mon frère. Parfois, je me demandais en quoi mon père avait trouvé la force de l'engrosser. En y repensant, j'étais un peu son contraire. J'étais le garçon aux cheveux long, le visage d'une pâleur maladive, aux doigts long, préférant la dentelle et les robes, la musique et l'art, qu'aux jeux violent, aux shorts et tee shirts déchirés quoi que viril. Je n'aimais pas le soleil, l'été, mais préférait la neige, l'hiver. Alors que ma mère était le genre de personnage rustique, repoussante physiquement, idiote -je n'ai pas peur de le dire, puisque c'est la strict vérité- ... Et je n'étais pas qu'un peu fier de ne pas lui ressembler pour un sou. Cependant, j'avais une vie tranquille, que je détesta presque immédiatement après être venu au monde. Il y eut une longue passe où je me demandais ce que je faisais là. Qu'on m'avait arraché à mon monde natal, qu'on allait venir me chercher pour m'emmener vers un monde nouveau. Puis, avec le temps, je me suis habituée, mais je n'ai jamais accepté cette vie comme tel. La quête de la Perfection étant dérisoire, j'ai alors courbé la nuque, et ai attendu patiemment que mon heure vienne ; oui, car j'attendais la Mort de pied ferme, sans forcément tomber dans la dépression et d'autres. Je vivais ma vie, je mangeais, je respirais, j'étudiais. Mais rien ne me satisfaisait. Non, rien.
Il y a un jour de mon enfance gravé dans ma mémoire. Vous me direz, il doit y en avoir des bien plus palpitants. Certainement, qui sait ... Revenons - en à ce fameux jour. J'avais, ce jour - ci, subtilisé une robe noir -sublime, parsemé de dentelle ci et là-, à ma sœur. Auparavant, je ne me rappelais jamais l'avoir vu, du moins de mon vivant, car cette robe là me rappelait un enterrement. Pourquoi ? Tout simplement, car Ayuko -ma soeur, donc- s'habillait la plupart du temps de couleur pastel. J'oubliais vite cette idée morbide, et l'enfilais - un acte stupide, mais que voulez - vous, les volants et lacets me faisaient et me feront toujours rêvé. J'avais gagné, nu pied, la rive du lac ; je dois avoué qu'il était beau, avec ces beaux reflets turquoises, il étincelait. Je m'étais couché sur la terre mouillé, de tout mon long. Le soleil avait peu à peu décliné, et enfin, la nuit arriva dans son manteau de velours. Je n'avais pas conscience de ce que je faisais, de ce à quoi je pensais. C'est quand j'entendis mon nom, répété plusieurs fois, que je me levais alors, me dirigeais à petit pas vers le lac, fendant alors l'eau glacé. Et puis, plus rien, le silence, comme si j'étais mort. Je trouvais d'ailleurs cela fort agréable, si l'on ne m'eut alors pas arraché de ce monde qui me correspondait parfaitement.

«DOKU ! Regarde dans quel état tu es ! Sale gosse ! »

Je me rendis compte alors que mon père me secouait énergiquement ; j'avais l'amer impression d'être un poupon désarticulé, qu'un enfant s'amusait à arracher un à un mes membres disgracieux de poupée de chiffon ... Je remuais faiblement mes bras, entrouvrant la bouche ; mais aucun son n'en sorti. Je laissai mes bras retomber le long de mon cœur et serrai les dents lorsque la main de mon père rencontra avec violence ma joue. Il me ramena sur la rive :

« Doku ... parfois, je me demande ce que tu fais là, avec nous. Parfois, je me dis que tu n'as pas ta place ici ... »

Alors, il fit demi tour, s'arrêta, me jeta un dernier regard et s'en alla. Ma mère me fixait, en silence, et, enfin, elle m'ordonna de la suivre. Je m'y pliai sans rechigner, gagnai notre piètre habitation me séchai et me couchai sans demander mon reste. Alors, je reconnu alors le pas lourd de Ayuko, qui s'approchait de mon lit. Je fis mine de dormir ; du revers de sa main, elle caressa ma tempe, démêlant mes cheveux.

« Petit frère ... que Dieu te protège. »

L'année de mes dix sept ans fut certainement l'une des plus marquantes de mon existence.
Je connus mes premières grosses déceptions. Les vrais, les dures. Celles qui vous marques, et que, dès que vous y repensez, votre cœur se serre, la rage monte en vous. Et ensuite, vous pleurez ... et vous êtes le pantin brisé, qui ne sert à rien, qui est seulement et purement obsolète ... et que la Mort se doit de venir cherché.
Bref, je me passerais bien de conter ce passage, cependant, il faut croire, que je suis purement et simplement masochiste.
C'était le genre de douce mâtiné, ensoleillé au possible, une légère brise caressant votre visage. Bref, le genre de mâtiné où je restais enfermé, ne voulant pas pointer le nez dehors, de peur de céder à la déprime - idée qui, me donnait des haut - le - cœur. Et c'était, certainement, la centième fois que je relisais mes compositions favorites, faisant voleter mon doigt d'une note à l'autre. Je m'abandonnai alors à la musique, fermant à demi mes paupières. Alors, un rayon de soleil filtra à travers mes volets, et, de rage, dérangé pendant mon exercice de détente, lançai mes notes à travers la pièce, me saisi de mes gants et sorti en bousculant mon jeune frère.

« Aïe Doku, tu aurais pu t'excuser !! Ça fait vachement mal, tu sais.
- Uryu-kun, apprend à articuler avant de t'adresser à ma noble personne. »

Ce que je n'appréciai pas chez mon frère - que je n'aimais pas tout court, d'ailleurs-, était certainement qu'il était, à l'origine, une personne soumise. Jamais, Ô grand dieu jamais il ne se défendrait. Je gagnai la terrasse, fit claquer mes gants et les enfilai à la hâte. Je respirai l'air, massant mes tempes. J'observai mon environnement - pathétique, seulement et bêtement pathétique.

« Pourquoi ne suis - je donc jamais étonné de voir pareil regard en toi, Doku ?
- Ça me paraît totalement illogique, sœurette, raillai - je. Je pivotai vers elle : puisque maintenant, tu m'accordes de l'attention ? Laisse moi rire.
- Tu es mon frère, une sœur qui n'en prêterait pas n'en serait pas une.
- Oui, tu es ma sieur. Mais trois fois par an, car à chaque anniversaire, je me rappelle avec dégoût que mon sang est de la même couleur que le tien, et crois - moi, j'ai envie de les ouvrir avec rage pour enfin sourire.[/b] »

Je la fixai avec une certaine gravité, histoire de bien faire pénétrer en elle mes propos. Elle esquissa un mouvement de recule, puis se ravisa, voyant le sourire qui commençait à naître au creux de mes lèvres. Elle pressa son linge sec contre sa poitrine, soutenant mon regard - avec difficulté, cependant. Enfin, elle baissa les yeux, et son épaule m'effleura :

« Joyeux anniversaire ... Doku. »

Alors qu'elle s'apprêtait à rentrer, je lui saisi avec violence son bras et l'attirai vers moi. Je plongeai mon regard dans ses yeux - des yeux où se lisaient une peur dont je n'eus pas le loisir de me régaler.

«- Je refuse que tu te moques de moi. Je refuse. Tu me dois respect, soumission total. Sinon ...
- Sinon quoi ? Est ce irrespectueux de te souhaiter bon anniversaire ? Dis le moi, Doku, car je suis confuse ! »

Elle osait me répondre. Elle osait. Sans que j'eus le temps de comprendre, je la giflai avec une telle violence qu'elle tomba à terre. Elle releva lentement sa tête, avec une gravité tel que mon cœur eut des ratés ; elle effleura sa joue du revers de sa main, soutenant mon regard de ses yeux gris et embués de larmes.

« Il faut que tu comprennes, Doku, que l'on ne peut pas effacer le passé. Que tu ne le veuilles ou non, tu resteras le même. On ne peut rien effacer. Rien ... je suis désolée, Doku, sincèrement ... si j'avais pu, je te jure que je t'aurai sauvé des griffes de ce démon nommé le Vice ... je n'ai pas pu. J'espère pour toi que rien ne sera déterré. Non rien ... je suis ... désolée ... tellement désolée. »

Elle éclata en sanglot ; je la contournai et parti. Je gagnai le lac, m'accroupis près de l'eau, que j'effleurai. Alors, je me mis à mouiller mes lourds vêtements de dentelle, leur faisant goûter la douceur de la tristesse.

[center] Ô lame de l'innocence, égorge moi, je t'en prie, que justice soit faite

Aujourd'hui, j'ai mal. Vraiment mal. Comme si une faille béante c'était ouvert dans mon cœur. Et que tout les malheurs du monde s'engouffraient en moi ... c'est désagréable. Je me hais, d'être aussi faible. C'en est rageant, à un point. Je préfère crever que d'être aussi mal, de faire preuve d'autant de faiblesse ... non, ça ne me correspond pas. Vraiment pas. Je me mis à relire ce que j'étais en train d'écrire, déchirai la feuille en morceau avant de la jeter dans le vent ; qu'il en fasse ce qu'il en souhaite, ça m'était égale. Mes sentiments partaient en lambeaux, je n'étais même pas capable d'avoir une pensée un peu près nette de ce qui m'arrivait. J'étais dans un semi brouillard, dans un état second. Je quittai ma demeure vers quatre ou cinq heures du matin pour rentrer vers une heure du matin. Un rythme effréné qui me cassait en deux, comme un vulgaire bout de bâton sec. J'étais las, oui, las. Et plus que jamais. C'en était dérisoire ; moi, qui me moquait du mal des autres. Moi, qui me moquait de leur pseudo dépression. Alors que moi, oui, moi, Doku Shinjô, je tombais aussi bas qu'eux ... voir plus. Je me suis négligé mentalement, aussi bien que physiquement ; mes cheveux relevés avec une pince grotesque, je traînai toute la journée avec une chemise noir qui n'en ressemblait pas à une ; c'était lamentable. Non, pire que lamentable ; j'étais fini. Fini mentalement, fini physiquement, une personne grotesque, sans élégance, et totalement vidé ... en cours.

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Troisième.
On dit que les artistes sont torturés et fous...

Sous forme de liste d'adjectifs, liste les qualités et les défaults de ton personnage.

• Misanthrope, extrêmement misanthrope.
• Orgueilleux.
• Égoïste.
• Méprisant.
• Moqueur, narquois, sournois ...
• Manipulateur au possible.
• Observateur.
• Sensible à son environnement.

Allez, vous avez bien quelques anecdotes à raconter, une manie, un tic,
une phobie de votre perso', ... Amusez-vous ! N'hésitez pas à étoffer
chaque point, cela ne peut qu'être bénéfique.

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Quatrième.
Des petits trucs, rien que des petits trucs.

Relations : Est - ce ironique ? Je n'apprécie pas les autres, pourquoi chercherai - je donc l'amitié ? Je ne prend que les ennemis, et encore faut - il qu'il soit à la hauteur ...

Avatar : Satsuki, du groupe Visual Kei ( séparé à mon grand malheur ) Rentrer En Soi.

Groupe : EPSILON ; les musiciens.

Code règlement : Je ne l'ai pas trouvé, désolé.

Cinquième.
Les masques tombent.

PRÉNOM: Huu ... Camille.
PSEUDO: Yume, Psychoz.
ÂGE: 14 ans.
LIEU DE VIE: [X] Europe [] Canada [] Ailleurs (facultatif)
COMMENT AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM ? Par Lily.
QU'EST CE QUE TU EN PENSE ? Un esthétique à couper le souffle, un contexte auquel j'ai directement accroché ; que des bons points. (:
AUTRE: J'ai faim ._. ; eh bien, ma présentation sera certainement terminé dans le week end, cependant je n'ai pas encore mon avatar mais j'ai déjà choisi la célébrité.

Oh ! Encore un nouveau membre. Merci Lily I love you !

Bienvenue. Très beau début de fiche. Bonne chance pour la suite. Et encore bienvenue chez les fous

Mdrrr'. T'inquiète, tu as tout l'temps

J'adore ta façon d'écrire, j'me sens naze maintenant avec mon Rp' pourri XD.

Oui, j'ai bien dit chez les fous xD. Tu t'en rendras compte par toi même xD.

Nous avons un bon nombre de portes en stock pour pouvoir sortir On a l'habitude.

Ah ben ça, ça nous connait, les portes, hein Psypsy? xD
Et tu m'as appelée Lilith ou je rêve? O_O C'est le pseudo de Môman Cassis O_O ça fait tout drôle d'un coup... *meurs* Donc de rien pour l'inscription hein 8D
J'fais les présentations? *-* (please, forgive me :m) Psy, Nickita, Nickita, Psy'! 8D Voilà, c'est fait n__n" (y a des fois où je me demande si je sers à quelque chose... :o)

Euh Nickito j'veux bien mais Nickita quand même pas. J'te rappelle que t'es à côté de moi en SVT chérie, j'pourrais toujours te faire un sale coup

Aller, au pire, tu m'envoies des poumons d'écureuils en pleine poire? xD J'ai pas peur de toi, NICKITA! è___é xD Fais pas cette tête, c'est affectueux, mi querido =D Y a bien un Rafita... :m C'est pas trop une référence mais bon, c'était bon à placer. n_n" De plus, tu me vois dire "Nickito"? Plus moche, tu meurs... O_o"
Oh My Squall, je pollue la superbe fiche de ma psy' o_o" *déguerpis vite fait*

Espèce de folle, j'vais te les faire manger tes poumons d'écureuil, & pis pourquoi pas l'écureuil éventré tout entier ? (aa). && pis y a pas vraiment de différence entre Nickito & Nickita XD.

Si è___é Y en a une! Et de taille qui plus est! n__n Nickito, ça sonne faux. (Oh! Une rime! J'ai donc ça dans la peau... *-* *sors avant de se recevoir une brique*)
Et pis t'as oublié que l'on ne joue pas avec la nourriture... (que j'suis gore quand je m'y met... 8D Like it so much! *o* *se reçoit la brique gravée "taggle lili"* Ouch @_@)

Je ne vais pas jouer avec, je vais juste aider ta petite personne à se nourrir convenablement.

"Convenablement"? O_O Serais-tu en train de sous-entendre que mon régime alimentaire n'est pas le bon? è_________é *envoie une frite sur kév'*

Oulalaaaa, Faudra m'expliquer qui connait qui ici.
Lily, dans la meme classe que Nick
London, soeur de Nick.

D'autres choses à savoir ? =D

Enfin Bref. Bienvenue chez les fouuus ! - comme l'autre l'a si bien dit.

L'autre ? Toi aussi t'as envie de manger des poumons d'écureuil ? XD.

Mais nan, c'est juste que les écureuils éventrés s'adaptent totalement à ton régime convenable !

Whaou .... *a pas d'autre mot*
bienvenue 0.0

Mdrrrr'. Chose à savoir, on pollue toujours tout xD.
Le flood, c'est notre passe temps favoris ! xD

Oui, L'AUTRE a encore raison xD

Et je n'ai pas peur de manger des poumons d'écureuils

Ça fait partie de ton régime alimentaire ?

Oui. J'ai toujours raison (a)

Non mais c'est vrai!O_O Faut arrêter de POLUER la SUBLIME (un bel oxymore *_* ... ou pas u_u" Mais qui irait me contredire, hein? è____é) présentation de MA Psypsy! D8

Finis tranquillement ta fiche et ne fais pas attention au sérial killeur d'écureuil volant u_u"

Moi sérial killer d'écureuil volants ?!

Chut, tu pollues !

Et moi aussi au passage. Pardon XD

J'avoue, CHUT!è____é (Et oui, toi, sérial killeur d'écureuil volant n__n")

*silence de plomb* Voilà qui est parfait! 8D *maggle lili, tu corrompt tes propres règles -_-"*